Les archives de la sécurité existent, en plus en deux exemplaires, microfilmés et déposés en lieux secrets. Dans ces archives, emballées en containers...
Les archives de la sécurité existent, en plus en deux exemplaires, microfilmés et déposés en lieux secrets. Dans ces archives, emballées en containers spéciaux d'aluminium et écume polyuréthane, aucune fille de la vie de ceux qui ont été surveillés ou ont travaillé pour la sécurité ne manque pas. Ceaușescu, après les événements de 1968, a pris la décision de garder les archives et de cette manière. Les unités qui surveillaient les archives avaient aussi préparées les oppérations de les détruire. Mais on n'a plus donné un tel ordre. En plus, les dossiers ont été enregistrés, après 1970, dans les troisièmes archives: informatisées. Ces-ci ont été évacuées, avant le 21 décembre 1989, du siège CID, auprès l'église Krețulescu. Les archives contenaient les quatre fonds de la sécurité. On peut apprendre du fond pénal qui avaient été les imposteurs qui ont posé en anticommunistes et qui sont les vrais martyrs. Le plus important est le fond d'opérations, ou existent aussi les secrets de la Roumanie. Le réseau de la sécurité est contenu dans le fond d'informations: informateurs, collaborateurs, résidents, maisons clandestines. Le dernier fond, celui de correspondance et synthèses, est important plutôt pour les historiens.
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